John Dodelande vient de franchir un nouveau cap dans son épopée de promotion de l’art contemporain asiatique en lançant une base de données de référence. Grand passionné et collectionneur d’art contemporain chinois, actif sur ce marché depuis plus de 10 ans, l’homme qui a fait la couverture de Forbes Géorgie fait partie d’une nouvelle génération d’entrepreneurs de la route de la soie, louée pour son audace, son ambition et sa vision. Son objectif : lancer les bases de ce qui sera un pont culturel et commercial reliant l’Est à l’Ouest. Son dernier projet en date est un autre pas dans cette direction.
L’homme « qui veut sauver l’art contemporain »
Qui est donc John Dodelande ? Prétendre répondre à cette question en quelques lignes serait desservir l’homme et ses accomplissements. Tentons donc un exercice sommaire. En 2019, la prestigieuse publication Le Courrier International a titré : « Le collectionneur français qui veut sauver l’art contemporain ». Ce collectionneur n’est autre que John Dodelande, passionné et collectionneur d’art contemporain chinois, et entrepreneur en série, basé à Tbilissi en Géorgie. Au-delà de sa passion pour l’art contemporain, dont il est un fervent défenseur et un promoteur infatigable, John Dodelande est également un businessman accompli qui a beaucoup investi en Géorgie, entre autres. Sa vision ? Créer des liens culturels, mais aussi commerciaux entre l’Est et l’Ouest. C’est dans cette lignée que s’inscrit son projet de base de données pour l’art contemporain chinois (et asiatique plus globalement), prenant appui sur les nouvelles technologies pour mieux faire connaître cette forme d’art qui lui tient tant à cœur. Dans cette même optique, John Dodelande a récemment lancé un tout nouveau site de promotion de l’art contemporain chinois : art.ge. Sur ce site, vous avez accès à une carte où vous pourrez voir des collections (privées ou non) d’artistes en vogue tels que Wang Guangle, Liu Wei ou encore Xi Molin à Paris, Tbilissi, Londres et Genève.
Le digital au service de l’art contemporain asiatique
John Dodelande est un expert de référence de l’art contemporain asiatique, et plus particulièrement chinois. Ce n’est pas un hasard s’il est actif sur ce marché depuis maintenant plus de 10 ans, révélant au monde une nouvelle génération de jeunes artistes chinois qui cassent les codes esthétiques de leurs aînés. Au fur et à mesure qu’il développe une connaissance approfondie du marché de l’art asiatique, John Dodelande s’aperçoit de l’absence d’un référentiel pertinent, capable d’offrir une meilleure grille de lecture du marché. Comment donc identifier les œuvres et les artistes, dresser un état des lieux des pratiques du marché ? Comment guider les acteurs à faire un choix éclairé ?
Certes, on peut toujours se tourner vers les sites et réseaux institutionnels des maisons de vente aux enchères, ou encore les bases de données les plus utilisées par les pure players. Mais est-ce vraiment la solution ? Perfectionniste, John Dodelande ne s’en contentera pas. D’autant plus qu’il remarque une certaine forme de monopole de certains acteurs, mais aussi un éclatement, une fragmentation de l’information, qui se traduit par une difficulté à faire le tri entre des dizaines, parfois des centaines de sources hétéroclites.
La nature a horreur du vide !
Pour ce qui est de l’art contemporain asiatique, son domaine de prédilection, John Dodelande constate le manque de référentiel qui permet d’identifier les œuvres et les artistes, ou encore de dresser un panorama du marché de l’art contemporain chinois, et asiatique plus globalement. La solution ? Visionnaire, John Dodelande développe avec des partenaires un nouvel outil digital, une base de données de référence pour l’art contemporain chinois, appelée à devenir, à terme, la plateforme de référence de l’art contemporain asiatique.
Accessible gratuitement au grand public pour son volet pédagogique, la base de données proposera une formule d’abonnement aux professionnels de l’art. Ces derniers auront ainsi accès à une mine d’informations précieuses sur les artistes, les œuvres, les transactions…