Tout savoir sur l’assurance Multirisque Immeuble (MRI)

Assurance Multirisque Immeuble

Il existe une multitude d’assurances, notamment pour les immeubles. Car oui, tout comme il est obligatoire d’assurer un appartement ou une maison, ces constructions doivent elles-aussi être assurées. Il est pour cela nécessaire de se rapprocher d’un professionnel  afin d’opter pour le contrat le plus adapté comme par exemple SPVIE Assurances avis aux amateurs !

Les caractéristiques de la MRI

L’assurance Multirisque Immeuble (MRI) concerne les immeubles, qu’ils soient en monopropriété ou en copropriété et qu’il s’agisse d’un usage d’habitation, professionnel ou mixte. Ce type de contrat, souscrit par le syndicat de copropriété et choisi en assemblée générale par les copropriétaires, couvre les parties communes.

Il est à noter que si l’assurance responsabilité civile est seulement obligatoire pour les immeubles (loi Alur et l’article 9-1 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965), la MRI offre une couverture plus étendue.

Bon à savoir : les parties privatives (définies par l’article 3 de la loi n° 65-557 du 10 juillet 1965), comme les appartements, les terrasses privatives ou les balcons doivent être assurés individuellement par les propriétaires ou les locataires par le biais d’un contrat d’assurance habitation.

Que couvre une assurance Multirisque Immeuble ?

La MRI est assez similaire à l’assurance multirisque habitation classique, à ceci près qu’elle est dédiée aux immeubles. Elle va ainsi, outre la responsabilité civile, couvrir les dommages subis par l’immeuble assuré (en fonction des garanties du contrat).

Les copropriétaires de l’immeuble sont alors couverts pour des dommages causés par l’immeuble à un tiers (responsabilité civile) et des dommages subis par l’immeuble (comme un dégât des eaux, un incendie, du vandalisme…).

D’autres garanties peuvent parfois être souscrites selon les assureurs, comme par exemple :

  • une responsabilité civile pour les syndics bénévoles ;
  • une assurance propriétaire non-occupant pour les propriétaires bailleurs ;
  • les frais de recherche de fuites d’eau ;
  • les dommages électriques, dont ceux causés par un appareil en surtension ;
  • les frais de déblayage des décombres après un sinistre ;
  • etc.

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